MAUFROY Claude
¤ 24 mars 1869 à Génelard (Saône-et-Loire)
† 25 juin 1919 à Arnay-le-Duc
Soldat – tambour – 57e régiment d’infanterie territoriale – 50 ans
Suites de maladie non contractée en service commandé
Acte de naissance
N°9
Lucenet Claude
—
Du vingt-quatre mars mil huit cent soixante neuf, à cinq heures du soir. Acte de naissance de Claude Lucenet, du sexe masculin né à Génelard aujourd’hui à une heure du soir, fils naturel de Louise Lucenet, âgée de vingt-quatre ans, journalière, domiciliée à Génelard, sur la déclaration faite par Françoise Barlerin femme Turet sage femme, âgée de soixante-ans, qui a présenté l’enfant. Témoins Louis Lauvernier, âgé de cinquante-neuf ans, journalier et Honoré Rancier, âgé de quarante-huit ans, journalier, demeurant tous deux à Génelard. Constaté suivant la loi par nous Edme Beraud maire de la commune de Génelard, canton de Toulon-sur-Arroux arrondissement de Charolles, département de Saône-et-Loire, officier de l’état civil soussigné avec la sage-femme et non les témoins qui ont déclaré ne le savoir, après lecture faite.
[Signature] femme Turet / Beraud
[Mention marginale] Par acte de mariage célébré en la mairie de Chalon-sur-Saône, le 1e février 1876, le sieur Claude Maufroy & dame Louise Lucenay ont reconnu & légitimé l’enfant dénommé dans l’acte ci-contre.
Mention faite conformément à la loi.
Le Greffier dudit tribunal.
Première expédition délivré le 24 février 1896 [Signature] illisible
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Fiche matricule
Nom : Maufroy
Prénoms : Claude
Surnoms : _
Numéro matricule du recrutement : 891
Classe de mobilisation : 1889
État civil :
Né le 24 mars 1869, à Génelard, canton du dit, département de Saône-et-Loire, résidant à Arnay-le-Duc, canton du dit, département de la Côte-d’Or, profession de ouvrier en Limes, fils de Claude et de feue Louise Lucenay domiciliés à Arnay-le-Duc, canton du dit, département de la Côte-d’Or.
N°.106 de tirage dans le canton d‘Arnay-le-Duc.
Signalement :
Cheveux et, sourcils châtain foncé,
yeux noirs, front découvert,
nez long, bouche moyenne,
menton rond, visage ovale,
Taille : 1 m. 66 cent. Taille rectifiée : _ m. _ cent.
Marques particulières : _
Degré d’instruction : générale : 3 Exercé : exercé.
Décision du conseil de révision et motifs :
Bon.
Compris dans la 1re partie de la liste du recrutement cantonal (_e portion)
Corps d’affectation / Numéros au contrôle spécial – matricule ou au répertoire
Dans l’armée active : 27e régiment d’infanterie
Disponibilité et réserve de l’armée active : Régiment d’Infanterie – 0123194
Armée territoriale et sa réserve : 57e régiment territorial d’Infanterie 7831
– Place forte de Dijon
– 57e régiment territorial d’Infanterie 8585.
Détail des services et mutations diverses. (Campagnes, blessures, actions d’éclat, décorations, etc.)
Incorporé au 27e Régiment d’infanterie à compter du 15 novembre 1890. Arrivé au corps ledit jour. Immatriculé sous le N°3530.
Tambour le 1er octobre 1892. Envoyé le 6 Décembre 1892 en congé en attendant son passage dans la réserve de l’armée active en vertu de l’article 22 de la loi du 15 juillet 1889 (soutien de famille). Certificat de bonne conduite accordé.
Passé dans la _ de l’armée active le _.
Dans la disponibilité ou dans la réserve de l’armée active.
Affecté au Régiment d’Infanterie stationné à Auxonne – 250.
A accompli une 1re période d’exercice dans le 10e régiment d’infanterie du 30 septembre au 27 octobre 1895.
A accompli une 2e période d’exercices dans le 10e Régiment d’Infanterie du 24 aoûtau 13 septembre 99.
Passé dans l’armée territoriale le 1er novembre 1903.
Dans l’armée territoriale et dans sa réserve.
57e Régiment territorial d’Infanterie. Tambour – 182
Affecté à la Place forte de Dijon. Soldat – 205
57e Régiment territorial d’Infanterie. Soldat – 924
Rappelé à l’activité “Mobilisation générale du 2 août 1914”
Arrivé au Corps le 2 août 1914. Réformé n°2 pour bronchite emphysème, voussure dorsale, par la commission de Réforme du Havre du 10 décembre 1915. Maintenu réformé n°2 par la Commission de réforme de Beaune du 12 avril 1916 (Loi du 17 août 1915).
Campagne contre l’Allemagne du 2 août 1914 au 10 Décembre 1915.
A accompli une période d’exercices dans l Dispensé du _ au _
Passé dans la réserve de l’armée territoriale le 1er octobre 1909.
Libéré du service militaire le 1er décembre 1918 (circulaire ministérielle 23913 du 15/11/18.
Localités successives habitées
par suite de changements de domicile ou de résidence
Dates / Communes / Subdivisions de région / D : Domicile, R : Résidence
_
Époque à laquelle l’homme doit passer dans :
La disponibilité de l’armée active :_
La réserve de l’armée active :1er novembre 1893
L’armée territoriale :1er novembre 1903
La réserve de l’armée territoriale : 1 novembre 1909 / 1 octobre 1909
Date de la libération du service militaire :1er novembre 1915 / 1 octobre 1915.
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Journal des marches et opérations du 57e régiment d’infanterie territoriale
Nous ne savons pas quand Claude Maufroy quitte le corps pour être réformé. Le journal des marches et opérations de son régiment est remarquable par les détails qu’il offre, y compris nominativement et sur les hommes de troupes. Les noms des soldats tués, blessés, et évacués sont régulièrement donnés, sauf qu’il s’agit de l’envoie au dépôt d’Auxonne de nombreux soldats – parfois une soixantaine en même temps – considérés « malingres » ou malades. Le 10 décembre 1915 sonne la fin de la guerre pour Claude Maufroy. Cette période est couverte dans deux JMO, disponibles ici et ici. Nous incorporons dans les explications suivantes des éléments contenus dans l’historique du régiment, largement inspiré par le JMO(1).
Lorsqu’est déclarée la mobilisation le 2 août 1914, le soldat Claude Maufroy appartient depuis plusieurs années à la réserve de l’armée territoriale. Théoriquement, il doit être libéré de toute obligation militaire en octobre 1915. « La territoriale » est pour les hommes la dernière étape des obligations militaires qu’ils doivent accomplir durant leur vie. Avec sa réserve, la territoriale regroupe les citoyens qui ont, environ, entre 35 et 45 ans. En 1914, ces hommes ont pour beaucoup effectué leur service militaire presque 20 ans auparavant et, exception faite des trois périodes d’exercice de trois semaines à un mois qu’ils peuvent être amenés à faire, ils n’ont plus guère d’expérience militaire qui correspond à la nature de la guerre de 1914. L’âge de ceux que l’on surnomme parfois « les pépères de l’armée » doit aussi être pris en compte. Si les commissions de réforme sont censées trier les hommes avant leur incorporation, que ce soit dans l’armée active, la réserve ou la territoriale, il y a en réalité beaucoup de soldats en très mauvaise santé qui sont envoyés se battre. Cette question doit être prise en compte pour comprendre au mieux le parcours de Claude Maufroy, et elle est plus amplement abordée dans la partie « données additionnelles ».
Rappelés à l’activité en août 1914, ce sont souvent les territoriaux qui dès la déclaration de la guerre gardent les voies de communication (routes, chemins de fer, canaux et rivières), occupent les dépôts et suivent l’armée active et sa réserve au front pour effectuer des travaux d’aménagement ou de garde. Réuni à Auxonne, le 57e régiment part rapidement pour Belfort et s’installe au Nord pour aménager des défenses avec les unités du génie. Malgré les apparences, appartenir à la territoriale est loin d’être sans danger. Les hommes sont souvent proches des premières lignes, voire directement en première ligne. Dès le 13 août, le 57e RIT se retrouve sous un bombardement d’une grande violence. A cela s’ajoutent de nombreux exercices et marches car l’armée souhaite que les territoriaux retrouvent une certaine condition physique. Une partie du régiment part en Alsace, l’autre dans le Doubs, le dernier reste dans le Territoire de Belfort. Dans les mois qui suivent, les effectifs du régiment se rendent dans les Vosges et, surtout, dans le département du Haut-Rhin. Fin avril 1915, ces effectifs se trouvent près du Vieil Armand (ou Hartmannswillerkopf), alternant dans les secteurs proches ou directement sur le sommet qui devient un monument de la violence de cette guerre. Au programme : occupations et défenses de tranchées, patrouilles, exercices, attaques. Le régiment territorial ressemble en tout point à une unité de combat de l’armée. En décembre, le régiment occupe toujours ce secteur, mais plus proche de Moosch.
Claude Maufroy n’est certainement plus avec ses camarades à cette époque, puisque le 10 décembre, il passe devant la commission de réforme du Havre (voir partie « données additionnelles » pour des hypothèses sur son parcours).
Décès
N°55
Décès
de
Maufroy Claude
marié 50 ans
—
Du 25 juin 1919
—
Le vingt-cinq juin mil neuf cent dix-neuf, sept heures et demie, Claude Maufroy, né à Génelard (Saône-et-Loire) le vingt-quatre mars mil huit cent soixante-neuf, ouvrier en limes, fils des défunts Claude Maufroy et de Louise Lucenay, époux de Françoise Passerotte, est décédé en son domicile, route de Longecourt. Dressé le vingt-cinq juin mil neuf cent dix-neuf, seize heures sur la déclaration de Bézulier Jean, cinquante-neuf ans, secrétaire de la Mairie et Léon Louis Déjardin, vingt-six ans, employé, tous deux demeurant en cette commune, qui, lecture faite, ont signé avec nous, Claude Bullier, adjoint faisant fonctions de Maire d’Arnay-le-Duc.
[Signatures] Bézulier / Déjardin / C. Bullier
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Données additionnelles
Attention, les patronymes Lucenet et Maufroy sont souvent orthographiés de manières différentes. On retrouve parfois l’orthographe Maufroy, Mauffroy, Mauffroid, Mauffroi.
Claude est né le 24 mars 1869 à Génelard, en Saône-et-Loire, sous le nom de Claude Lucenet, fils de Louise Lucenay. Il est reconnu très rapidement par sa mère mais ce n’est qu’en 1876 qu’il prend le nom de son père, Maufroy, lorsque celui-ci épouse Louise à Chalon-sur-Saône. En 1882, Claude père épouse en seconde noce Reine Passerotte(2). On retrouve le couple et leurs plus jeunes enfants rue du Château dans le recensement de 1911 (nom proprement orthographié Maufroy). Quant à Claude fils, qui nous intéresse, il épouse la cousine de sa belle-mère, Françoise Passerotte, dite Francine, en 1896, toujours à Arnay-le-Duc(3). Le couple apparaît dans le recensement de 1911 comme habitant au faubourg Dijon, avec leurs enfants Louis, Andrée et Albert (nom orthographié Mauffroid). Toute la famille travaille à la limerie. Le demi-frère de Claude, Jean Baptiste, est tué au bois Mulot le 20 juillet 1915.
Arbre généalogique basé sur les actes de mariages, décès et le recensement de 1911.
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Claude Maufroy est décédé dans son foyer le 25 juin 1919, à Arnay-le-Duc. Il n’a pas obtenu la mention « Mort pour la France ». Sur sa fiche matricule, il apparaît qu’il est réformé catégorie numéro 2. C’est-à-dire une réforme pour blessure ou maladie que l’autorité militaire ne considère pas comme imputable au service militaire. En somme, il n’est pas considéré comme une victime de la guerre, et ne reçoit aucune pension de l’armée comme les réformés de la première catégorie. Cependant, sa famille, et la commune d’Arnay, considèrent qu’il est mort par fait de guerre puisque son nom est inscrit sur le monument aux morts. Nous pouvons donc nous interroger sur son année et demie passée aux armées et sur les conditions de son décès.
La fiche matricule du soldat Maufroy nous renseigne sur les circonstances qui conduisent à sa réforme. Il est souffre de « bronchite emphysème » et de voussure dorsale (aujourd’hui plutôt appelée cyphose dorsale). Sans davantage de renseignements, cette voussure peut être le résultat d’une fracture ou d’un tassement des vertèbres. La plupart du temps, c’est une déformation qui se fait sur le long terme, excluant la cause d’un traumatisme ou d’un choc survenu pendant la guerre. Quant à la « bronchite emphysème », il s’agit d’une maladie qui provoque des destructions des alvéoles du malade. C’est une complication des bronchopneumopathies chroniques obstructives. La bronchite peut également être tuberculeuse (maladie infectieuse due au bacille de Koch, qui peut être latente, c’est-à-dire non symptomatique et non contagieuse). Il n’est pas impossible que les problèmes pulmonaires du tambour Maufroy jouent un rôle sur ses problèmes de dos, mais ce n’est là qu’une supposition(4).
Il est d’abord réformé par la commission du Havre le 10 décembre 1915, décision qui est à nouveau examinée et confirmée par la commission de Beaune le 12 avril 1916, certainement après appel fait par Claude. Pourquoi est-il passé devant la commission du Havre alors que son régiment n’est nullement déployé dans le Nord de la France et que son domicile ne s’y trouve pas ? Nous pouvons supposer qu’il est évacué à un certain moment vers le Havre, ville d’ailleurs connue pour ses sanatoriums(5). Le précis J.M.O. du 57e régiment territorial ne mentionne aucunement une telle évacuation. Cela peut également être une erreur de la part du rédacteur de la fiche matricule. L’armée refusant de considérer que Maufroy soit malade à cause de son service militaire, les gaz ne sont probablement pas responsables de ses problèmes pulmonaires. Les indices que nous avons laissent paraître la possibilité que Claude Maufroy soit déjà malade lors de sa mobilisation, mais il ne faut pas se méprendre sur les intentions de l’armée qui est souvent réticente à attribuer une maladie à l’expérience de guerre. Cela évite une pension supplémentaire à verser et, après les hécatombes du début de la guerre, l’armée doit trouver des hommes pour remplacer ceux tombés, quitte à prendre des hommes âgés et des hommes dont la santé devrait les exempter du service actif. Comme le souligne l’historien Pierre Darmon, « ce matériel humain de récupération comprend non seulement des tuberculeux mais aussi des cardiaques, des « entéritiques », des imbéciles ou des psycho-névrosés(6) ».
Ainsi, nous pouvons supposer que les maux dont souffre Maufroy ne sont pas suffisant pour le conseil de révision en 1914. Son métier aux forges de la limerie d’Arnay-le-Duc, un potentiel tabagisme ou d’anciennes maladies peuvent être des causes d’une fragilité pulmonaire. A cela s’ajoute le fait qu’il est peut-être asymptomatique en août 1914, et que lui-même ne se sait pas malade. Les conseils de révision et de réforme, par ailleurs, ne sont pas toujours très regardant sur la santé véritable du soldat. Après tout, tant que celui-ci peut tenir son fusil, il peut remplir son devoir. Il y a dans la société comme dans l’armée une véritable psychose et une chasse des « embusqués » et des « planqués », ces hommes qui font tout pour être incorporés dans un service auxiliaire voire pour être exemptés. Cette « embuscomanie » participe à durcir les mesures d’incorporation et de récupération, surtout à partir de 1916, mais ce durcissement est présent dès les premiers mois. Cette peur peut n’est pas sans fondement. Des étudiants se font passer pour ouvriers afin d’être détachés aux usines, des soldats échangent leur crachat pour être positif au bacille de Koch(7). Enfin, les tests pour déceler les problèmes pulmonaires sont couteux, prennent du temps, et ne sont parfois pas à la disposition des médecins des commissions de révision et réforme. L’épreuve de la guerre fait office d’auscultation. Malgré la malhonnêteté de ce docteur Chauffard qui en avril 1915 écrit dans la Gazette médicale que des soldats « malingres, souffreteux ou neurasthéniques […] ont acquis, depuis qu’ils sont dans les tranchées, une résistance physique merveilleuse(8)», la réalité est que l’envoi au front de ces soldats aux problèmes pulmonaires est un arrêt de mort. Beaucoup de soldats sont, ainsi, baladés entre hôpitaux et front au fil des décisions des commissions et du degré de leurs symptômes. Les médecins confrontés aux afflux de blessés et malades s’élèvent contre ces pratiques dangereuses. Toux et crachats affaiblissent le moral des soldats sains, la promiscuité de la vie militaire est propice aux contagions, et l’attitude vis-à-vis des tuberculeux et autres pulmonaires est cruelle. Certains hommes passent ainsi des mois, voire des années, à attendre les décisions des commissions jusqu’à ce que mort s’ensuive ou jusqu’à ce qu’enfin, ils soient renvoyés chez eux, souvent sans pension. D’ailleurs, les réformés numéro 2 sont souvent désarmés face à cette décision relativement injuste, ils n’ont ni les connaissances légales, ni les moyens, ni le temps de vie, pour réclamer une réévaluation de leur situation.
Sans pour autant pouvoir confirmer que c’est bien-là ce que Claude Maufroy vit, bien des indices laissent supposer que ce n’est pas très loin de la vérité. Dans les faits, l’histoire de Claude Maufroy est aussi révélatrice de l’expérience de nombreux soldats, surtout ceux qui sont malades, plus faibles physiquement, histoire bien éloignée de l’héroïsme guerrier que de nombreuses sources laissent transparaître.
Carte
Sources
- A. D. de la Saône-et-Loire, état civil numérisé, Génélard, naissances 1869 (5 E 212/8), Maufroy Claude, n°9, 1869, vue 3/9.
- A.D. de la Côte-d’Or, recrutement militaires (1867-1940), classe 1889, bureau d’Auxonne (R 2219), vues 608-09/784.
- S.H.D, Mémoire des Hommes, Journaux des marches et opérations des corps de troupe, 57e régiment d’infanterie territoriale, 5 août 1914 – 22 novembre 1915 (26 N 786/16), vue 1/55.
- S.H.D, Mémoire des Hommes, Journaux des marches et opérations des corps de troupe, 57e régiment d’infanterie territoriale, 23 novembre 1915 – 10 août 1916 (26 N 786/17), vue 1/27.
- A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Arnay-le-Duc 1916 – 1920 (FRAD021EC 26/041), Maufroy Claude, n°55, 1919, vue 222/329.
- (1) (s.n.) (s.d) Historique du 57e régiment territoriale d’infanterie, Chapelot (éditeur), 8 p. [En ligne] (consulté le 2 juin 2022).
- (2) A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Arnay-le-Duc 1877 – 1885 (FRAD021EC 26/034), Maufroy Claude – Passerotte Reine, n°66, 1882, vues 367-68/601.
- (3) A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Arnay-le-Duc 1893 – 1896 (FRAD021EC 26/036), Maufroy Claude – Passerotte Françoise, n°45, 1896, vue 211/272.
- (4) Nos remerciements à Johanna Basset, étudiante en médecine, pour ses explications sur les termes médicaux évoqués.
- (5) Henry, Stéphane (2010), « Combattre la tuberculose au Havre (1879-1939) », in Annales de Normandie, n°1, pp. 163-78 [En ligne] (consulté le 2 juin 2022).
- (6) Darmon, Pierre (2022), « La Grande Guerre des soldats tuberculeux », in Annales de démographie historique, n°103, pp. 35-50 [En ligne] (consulté le 2 juin 2022).
- (7) Ridel, Charles (2017), Les embusqués, Paris, Armand Colin, 368 p.
- (8) Darmon (2022), op. cit.