BIDAULT Claude Jean

BIDAULT Claude Jean

¤ 6 mars 1894 au hameau de Blangey, Jouey (Côte-d’Or)
† 1 février 1917 aux avant-postes de Rashtani, Monastir (Bitola – Macédoine du Nord)
2ème classe – 371e régiment d’infanterie  – 23 ans
Mort des suites de blessures par éclat d’obus
Mort pour la France

“Très bon soldat, a toujours montré les plus belles qualités de dévouement et de sang-froid.”

Acte de naissance

N°5

Naissance
de
Berland Claude
Jean
6 mars 1894

naturel

L’an mil huit cent quatre vingt-quatorze, le sept mars, à dix heures du matin, heure légale, par devant nous, Clerc Louis, maire et officier de l’officier de l’Etat civil de la commune de Jouey, canton d’Arnay-le-Duc, arrondissement de Beaune, Côte-d’Or, est comparue Donin Marie, âgée de trente-deux ans, sage-femme jurée, domiciliée à Blangey (Jouey) laquelle nous a déclaré qu’hier, à midi, est né au domicile de sa mère, un enfant du sexe masculin qu’elle nous a présenté et auquel elle a déclaré donner les prénoms de Claude-Jean. Lequel enfant est né de mademoiselle Berland Marie, âgée de vingt-deux ans, sans profession, domiciliée à Blangey (Jouey). Les dites déclaration et présentation ont été faites en présence de Buisson Etienne, âgée de quarante-huit ans, aubergiste et de Siredey Pierre, âgée de trente-quatre ans, Instituteur, tous deux domiciliés à Jouey ; lesquels avec la déclarante ont signé avec nous le présent acte après lecture.
[Signatures] Siredey / Clerc / Buisson / Marie Donin
[Mention marginale] Deux mots rayés, nuls, approuvés. [Signatures] Siredey / Clerc / Buisson / Donin
[Mention marginale] Par acte de mariage dressé en la mairie de Jouey, en date du dix sept juin mil huit cent quatre vingt dix neuf, Bidault Paul et Marie Berland ont reconnu et légitimé Berland Claude Jean dont la naissance est constatée en l’acte ci-contre. Dont mention, faite au Greffe le seize octobre 1899. Le commis greffier. [Signature] L. Gremeau

[Lien vers le document original]

Fiche matricule

Décédé

Nom : Bidault
Prénoms : Claude Jean
Surnoms : _
Numéro matricule du recrutement : 953
Classe de mobilisation : 1914


État civil :

Né le 6 mars 1894, à Jouey, canton d‘Arnay-le-Duc, département de Côte-d’Or, résidant à Arnay-le-Duc, canton dArnay-le-Duc, département de Côte-d’Or, profession de domestique, fils de Paul et de Berland Marie domiciliés à Arnay-le-Duc, canton d‘Arnay-le-Duc, département de Côte-d’Or.

Marié à _.


Signalement :

Cheveux châtains, Yeux bleus,
Front moyen, Nez rectiligne,
Visage ovale, Renseignements physionomiques
complémentaires :
_
Taille : 1 mètre 66 centimètres.
Taille rectifiée :
1 mètre _ centimètres.
Marques particulières : _
Degré d’instruction : 3


Décision du conseil de révision et motifs :

Inscrit sous le n°7 de la liste du canton d’Arnay-le-Duc
Classé dans la 2e partie de la liste en 1914

Classé dans le Service Auxiliaire pour “Varices des 2 jambes”.


Corps d’affectation / Numéros au contrôle spécial – matricule ou au répertoire

Dans l’armée active : 16e régiment de chasseurs à cheval – 2835
– 79e régiment d’Infanterie – 14007
– 35e régiment d’infanterie – 13705
– 244e régiment d’infanterie – 9101
– 371e régiment d’infanterie – 10101

Disponibilité et réserve de l’armée active : _
Armée territoriale et sa réserve : _


Détail des services et mutations diverses.

Incorporé à compter du 16 décembre 1914. Arrivé au corps ledit jour. Classé service armé par la commission de réforme de Dijon du 12 juin 1915. Passé au 79e régiment d’Infanterie le 25 août 1915. Passé au 35e régiment d’infanterie (Armée d’Orient) le 19 novembre 1915 (décision du général commandant la 8e Région en date du 15 novembre 1915). Passé au 244e régiment d’Infanterie en Orient le 21 décembre 1915. Passé au 371e régiment d’Infanterie, le 31 octobre 1916 (exécution de la note de service du commandement des armées alliées en Orient n°1985/1 du 26 octobre 1916. Tué à l’ennemi, le 1er février 1917 aux avants postes, au nord de Monastir (Serbie). Inhumé au cimetière de Rastani(Serbie)*, avis officiel du 2 mars 1917 (EP.bis4574). Rayé des contrôles le 2 février 1917. Rayé le 20 avril 1917.


Antécédents judiciaires et condamnations

_.

Campagnes

Contre l’Allemagne du 16 décembre 1914 au 1er février 1917.

Blessures, citations, décorations, etc.

_.


Localités successives habitées
par suite de changements de domicile ou de résidence

Dates / Communes / Subdivisions de région / D : Domicile, R : Résidence

_.


Périodes d’exercices

Réserve : 1re dans le_, du _ au _.
– 2e dans le_, du _ au _.
– Supplémentaire dans le_, du _ au _.
Armée territoriale : 1re dans le_, du _ au _.
– Supplémentaire dans le_, du _ au _.
Spéciales aux hommes du service de garde des voies de communication :_.


Époque à laquelle l’homme doit passer dans :

La réserve de l’armée active :_
L’armée territoriale :_
La réserve de l’armée territoriale : _
Date de la libération du service militaire :_

* Rastani : aujourd’hui Rashtani en Macédoine du Nord.

[Lien vers le document original]

Journal des marches et opérations du 371e régiment d’infanterie

Depuis la mi-novembre 1916, le 371e régiment d’infanterie se trouve dans le secteur de Monastir, actuelle ville de Bitola en Macédoine du Nord. Depuis la Grèce, qui se déchire politiquement à cause de la guerre sur son territoire théoriquement neutre, les troupes de l’Entente essaient de reprendre le secteur. La prise de la ville est une rude épreuve pour les soldats français et serbes qui mènent l’offensive, comme pour les Bulgares qui luttent ardemment. Bitola se trouve au pied de montagnes, à environ 600 mètres au-dessus du niveau de la mer. Au Sud-Ouest se hisse le mont Baba, à 2500 mètres d’altitude. Au Nord-Ouest une autre formation montagneuse dont les sommets sont presque toujours enneigés, comme l’indique le nom d’un des villages qui y est juché : Snegovo (« sneg », comme dans beaucoup de langues slaves, veut dire « neige »). Enfin, à l’Est, la longue plaine de Pélagonie. Ces montagnes, parfois boiseuses, souvent rocheuses, deviennent les lieux de vie, et de morts, de milliers de soldats. Alors que l’Entente prend Bitola, l’armée bulgare se retire sur les hauteurs du Mont Baba, bientôt avec l’appui de troupes allemandes fraîchement arrivées.

Bitola (Monastir) vue des airs en décembre 1915(1).
Cliquer pour agrandir.

Les Bulgares possèdent alors une excellente position pour s’enterrer et se solidifier, depuis laquelle ils peuvent bombarder Bitola. Les Français et Serbes ne parviennent à avancer sur les montagnes, alors eux aussi s’enterrent.

Attaque de l’infanterie bulgare dans le secteur de Bitola, 1916. Photographie illustrant le type de terrain(2).
Cliquer pour agrandir.

La fin 1916 marque la stabilisation de ce front oriental. Claude Bidault est transféré du 244e au 371e régiment d’infanterie, 26e compagnie. Les soldats creusent et aménagent tranchées et abris. Si les obus et balles tuent toujours, les ennemis des hommes sont le froid, l’ennui, la maladie. Quelques jours en première ligne, quelques jours en seconde, quelques jours à Bitola, mais rien, ou presque, ne change. Fin janvier 1917, les soldats sont toujours terrés dans un vaste système de tranchées et d’abris autour de Bitola. C’est la période du dégel, la neige est devenue boue. Il fait toujours froid, et les journées se ressemblent. Les entrées dans le journal des marches du régiment commencent presque toutes par ces 4 mots : « mêmes emplacements, mêmes travaux ».

Entrées du 1 et 2 février 1917 :

1er février
Mêmes emplacements. Continuation des travaux d’organisation défensive. Par suite du dégel et de la fonte des neiges, les tranchées, boyaux, abris, s’éboulent. Le travail aux avant-postes consiste principalement à enlever la boue des tranchées et boyaux, à réparer les dégâts causés par les éboulements et à étayer les travaux.
A 17h30, un obus de petit calibre venant de la direction du monastère Ste Elise tombe sur le point d’appui B². Un homme est tué par éclat d’obus.
Pertes : 1 tué : soldat Bidault, 26e compagnie.
Citation : le Général Lebois, commandant l’Armée Française d’Orient cite à l’Ordre de l’Armée les militaires dont les noms suivent :
371e Régiment d’Infanterie :
Muller Henri, caporal à la 21e compagnie : « Jeune caporal, d’une bravoure exceptionnelle. S’est signalé en plusieurs circonstances par son initiative et son mépris absolu du danger, notamment le 20 novembre 1916 où, sous le feu de l’ennemi, il a remplacé au pied levé un caporal-chef de pièce de mitrailleuse, sur un terrain particulièrement battu ».
Le général de Brigade Jacquemot prend le Commandement de la 57e division.

2 février
Mêmes emplacements ; mêmes travaux.
Le froid continue. Au matin, deux hommes sont trouvés asphyxiés dans leur abri, l’un d’eux est mort (soldat Blaisot, 27e compagnie), l’autre respirant encore est transporté au poste de secours. Les deux hommes ont été asphyxiés par l’oxyde de carbone dégagé par un réchaud à charbon de bois allumé dans leur abri à leur rentrée du travail.
A la crête Martin, un homme est blessé au pied par l’éboulement d’un abri.
[Suit l’énoncé d’ordre de placement de bataillons]

Soldats français dans des tranchées creusées dans les montagnes macédoniennes de la cote 1248 devant Monastir, après l’attaque (16 -26 mars 1917)(3).
Cliquer pour agrandir

[Lien vers le document original]

Décès

N°64

Transcription d’acte de décès
de Bidault Claude
Mort pour la France

Du 15 juillet 1917

Acte de décès
Exécution de la note ministérielle du 20 novembre 1896

L’an mil neuf cent dix sept, le premier du mois de février à dix neuf heures étant à Monastir (Serbie). Acte de décès de Bidault Claude Jean soldat de 2e classe au 371e régiment d’Infanterie 26e compagnie numéro matricule 953 au recrutement d’Auxonne né le 6 mars 1894 à Jouey canton d’Arnay-le-Duc département de la Côte-d’Or domicilié en dernier lieu à Arnay-le-Duc canton dudit département de la Côte-d’Or, ‘’Mort pour la France’’ le premier février mil neuf cent dix sept à dix sept heures des suites de blessures reçues au combat au Nord de Monastier (Serbie). Inhumé au cimetière Français de Rastani (Serbie)* fils de Paul et de Berland Marie domiciliés à Arnay-le-Duc canton dudit (Côte-d’Or). Conformément à l’article 77 du Code Civil, nous nous sommes transporté auprès de la personne décédée et assuré de la réalité du décès. Dressé par moi Marie Charles Henri Toubin lieutenant au 371e régiment d’infanterie faisant fonction d’officier de l’Etat Civil sur la déclaration de Auguste Bourcier caporal à la 26e compagnie du 371e régiment d’infanterie le 1er mars 1885, et de Fernand Manceau clairon à la 26e compagnie du 371e régiment d’infanterie né le 29 décembre 1891, témoins, qui ont signé avec moi, après lecture. Signature des témoins : Bourcier, Manceau. L’officier faisant fonction d’officier de l’Etat Civil. Signé : Toubin.
Vu par nous Théodore sous-Intendant militaire de la 57e Division. Signé : Théodore.
Vu pour légalisation de la signature de Mr. Théodore. Paris le 2 mai 1917.
Le ministre de la Guerre
par délégation.
Le chef du bureau des archives administratives.
Signature illisible.
L’acte ci-dessus a été transcrit le quinze juillet mil neuf cent dix sept, dix heures, par nous Nicolas Justin Hutin, maire d’Arnay-le-Duc.
[Signature] Hutin

* Rastani : aujourd’hui Rashtani en Macédoine du Nord.

[Lien vers le document original]

Données additionnelles

Claude Bidault est né à Jouey (canton d’Arnay-le-Duc) en 1894. Il est le second enfant naturel de Marie Berland et de Paul Bidault. Ses parents ont un déjà un fils, Louis, né en 1890 quand ils étaient alors jeunes, puis une fille en 1897, Jeanne Marie. Claude et Marie se marient en 1899 à Jouey, légitimant les enfants qui prennent alors le patronyme de leur père(4). Paul Bidault est né à Beaune en 1872, il sert donc lui aussi pendant la première guerre mondiale. Il fait partie de ses nombreux journaliers, domestiques, et ouvriers qui voyagent beaucoup dans leur région, ou plus loin, au fil des emplois souvent temporaires et instables qu’ils trouvent. Cette condition est souvent accompagnée d’une certaine fragilité sociale et pauvreté. Sa fiche matricule nous indique qu’il ne sait ni lire ni écrire, et qu’en 1916 il est le père de 8 enfants(5). C’est à la fin de l’année 1911 qu’il s’installe à Arnay-le-Duc avec son épouse et leurs plus jeunes enfants. Les aînés, Louis et Claude, s’y trouvent déjà. Louis est ouvrier menuisier chez les Rousselet. Claude est domestique agricole chez François Diolot.

De la classe 1914, Claude Bidault est classé dans le service auxiliaire de l’armée à cause de varices, alors que la date de son service militaire approche. Mais ceux de 14, pour reprendre le nom de l’œuvre de Maurice Genevoix, sont massivement versés dans le service armé, y compris ceux qui normalement seraient seulement considérés comme bon pour le service auxiliaire, voire dispensés de service.

15 novembre 1915. Le soldat Claude Bidault arrive au 244e régiment d’infanterie. Il est dans l’armée française d’Orient engagée en actuelles Grèce et Macédoine du Nord, anciennes provinces ottomanes que se sont partagées les nations qui se battent alors. Pour les soldats de la métropole comme Claude Bidault qui n’ont guère voyagé dans la vie civile ou n’ont pas été dans l’armée coloniale, c’est un monde nouveau, un dépaysement total. La Grèce, avec son climat méditerranéen, d’abord, puis la Macédoine où des siècles de mélanges d’influences grecque, ottomane et slave créent une culture bien exotique à leurs yeux. Mosquées et églises orthodoxes peignent un tableau religieux différent, les mœurs et coutumes des populations civiles, par ailleurs assez hostiles aux troupes, ne ressemblent à rien que ces soldats ont pu voir avant de débarquer. Un exotisme qui se voit aussi dans la guerre. Le soldat français se bat aux côtés de nouveaux amis serbes, russes, parfois albanais et monténégrins, en plus des Britanniques et Italiens, et contre un nouvel ennemi : la Bulgarie. La base de l’Entente à Salonique est peut-être le seul réconfort que les soldats d’Orient peuvent espérer. Bien qu’il faille la construire, et c’est là une tâche difficile pour ceux qui s’y attèlent, elle offre un léger aperçu de la culture méditerranéenne. Car pour les autres soldats, et tous ceux qui doivent s’aventurer au-delà de Salonique, les conditions de vie dans l’armée d’Orient sont effroyables. Lorsqu’ils arrivent en octobre et novembre 1915, les soldats doivent se préparer à un hiver redoutable, jusqu’à 20 degrés ou plus sous la barre de zéro. Quant aux étés, ils sont chauds et secs. Les maladies en tout genre sont presque plus dangereuses que l’ennemi, et l’ennui sape le moral des troupes qui ont souvent le mal du pays. En Orient, il n’y aucune possibilité de voir ses proches lors des permissions. L’armée essaie de divertir les hommes sans pour autant nuire à la discipline attendue des troupes, mais même les compétitions sportives et les spectacles ne parviennent à réellement améliorer les conditions de vie. C’est un front de la guerre largement oublié par rapport à celui de la métropole. Pourtant, les soldats y restent longtemps, bien plus que ceux qui occupent la Rhénanie après l’armistice. Beaucoup ne sont démobilisés qu’en 1921, après l’occupation de certaines régions des pays vaincus : la Bulgarie, la Hongrie, Constantinople ou la Thrace(6).

Claude Bidault, tué en fin d’après-midi du 1 février 1917, est cité au Journal officiel le 17 février 1920 :

BIDAULT (Claude-Jean), matricule Rt. 10101, soldat : très bon soldat, a toujours montré les plus belles qualités de dévouement et de sang-froid. A été frappé mortellement, le 1er février 1917, au moment où il se rendait en première ligne pour y prendre son service. A été cité.

(7)
Photographie de la tombe de Claude Bidault au cimetière militaire français de Bitola
Photographie de la tombe de Claude Bidault au cimetière militaire français de Bitola

Claude Bidault est inhumé au cimetière militaire français de Bitola. Il repose dans la tombe 3197 auprès de 6 291 autres soldats inhumés dans des tombes individuelles, et de 7 000 à 10 000 soldats dont les restes sont répartis dans deux ossuaires(8).

Carte

Voir en plein écran

Sources

  • A. D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Jouey 1889 – 1896 (FRAD021EC 333/009), Bidault Claude Jean, n°5, 1894, vues 153-54/231.
  • A.D. de la Côte-d’Or, recrutement militaire (1867-1940), classe 1914, bureau d’Auxonne (R 2506), vue 812/1104.
  • S.H.D, Mémoire des Hommes, Journaux des marches et opérations des corps de troupe, 371e régiment d’infanterie, 18 novembre 1916 – 3 avril 1917 (26 N 765/8), vue 53/124.
  • A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Arnay-le-Duc 1916 – 1920 (FRAD021EC 26/041), Contant Paul (transcription), n°64, 1917, vue 83/329.
  • (1) Aubert, Marcel (décembre 1915), La ville de Monastir (décembre 1915). Vue aérienne, référence : APOR062210, Ministère de la Culture. Médiathèque de l’architecture et du patrimoine [En ligne] (consulté le 13 juin 2022).
  • (2) (vers 1916), Bulgarian infantry attack in the Bitola area, 1916, Wikipedia Commons [En ligne] (consulté le 13 juin 2022).
  • (3) Opérateur K (18 mars 1917), L’attaque de la cote 1248 devant Monastir (16-26 mars 1917). 1ères lignes devant Monastir : sommeil de soldats après l’attaque, référence : APOR095038, Ministère de la Culture. Médiathèque de l’architecture et du patrimoine [En ligne] (consulté le 13 juin 2022).
  • (4) A. D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Jouey 1897 – 1904 (FRAD021EC 333/009), Bidault Paul –  Berland Marie, n°12, 1899, vues 66-7/201.
  • (5) A.D. de la Côte-d’Or, recrutement militaire (1867-1940), classe 1892, bureau d’Auxonne (R 2298), vues 777-79/1168.
  • (6) Guelton, Frédéric (2021), « L’armée française en Grèce, 1915-1920 » in Girard, Maximilien, Béchu, Claire (ed.), La France et la Grèce au XXe siècle : des archives à l’histoire, Athènes, École française d’Athènes, pp. 31-38 [En ligne] (consulté le 13 juin 2022).
  • (7) (17 février 1920), Journal de la République française. Lois et décrets, p. 2622 [En ligne] Disponible sur Gallica.
  • (8) S.H.D, Mémoire des Hommes, base des sépultures de guerre, fiche de Bidault Claude Jean.