VLAMINCK Alfred Fernand

VLAMINCK Alfred Fernand

¤ 3 mai 1885 à Fontenay-sous-Bois (Seine)
† 5 avril 1921 à Arnay-le-Duc
2e classe – 239e régiment d’infanterie – 35 ans
Suites de maladie et/ou blessures

Signature d'Alfred Vlaminck pour son mariage en 1907.
Signature d’Alfred Vlaminck pour son mariage en 1907.
“Si l’on avait essayé de me soulager un peu […] j’en serais pas où j’en suis”.

Acte de naissance

N°20

Vlaminck
Alfred-Fernand

L’an mil-huit-cent quatre-vingt-cinq, le lundi quatre mai à dix heures du matin, devant nous Pierre Joseph Richebois, Maire, officier de l’état civil de la Commune de Fontenay-Sous-Bois. A comparu : Alfred Jean Vlaminck, âgé de vingt-sept ans, cordonnier, demeurant à Fontenay-Sous-Bois, rue Grognard n°10. Lequel nous a présenté un enfant de sexe masculin qu’il nous a dit être né le trois de ce mois à une heure du soir en son domicile sus indiqué, de Lui déclarant et de Marie-Victorine Levitre son épouse âgée de vingt-sept ans, cuisinière, demeurant avec lui, et il a donné à cet enfant les prénoms de Alfred-Fernand. Les présentation et déclaration ont été faites en présence de Ernest Mangeon âgé de trente-quatre ans marchand de vins demeurant à Fontenay-Sous-Bois rue Mauconseil n°2 et Charles Cholet âgé de vingt-sept ans, charretier, demeurant au même lieu, rue Grognard n°10, témoins. Et avons de ce que dessus, dressé le présent acte que le comparant & les témoins ont signé avec nous après lecture faite.
[Signatures] Vlaminck / E. Mangeon / Chollet / Richebois
[Mention marginale] Mention. Marié en la mairie de Serrigny*, Côte-d’Or, le onze mars mil-neuf-cent-sept avec Jeanne Barbier. Pour mention. Le maire. [Signature] illisible.

[Lien vers le document original]

*Il s’agit de la commune de Ladoix-Serrigny.

Fiche matricule

Nom : Vlaminck
Prénoms : Alfred, Fernand
Surnoms :
Numéro matricule du recrutement : 4332.
Classe de mobilisation : 1906. D.I..


État civil :

Né le 3 mai 1885, à Fontenay-sous-Bois, canton de Vincennes, département de la Seine, résidant à Corgoloin, canton de Nuits-Saint-Georges, département de la Côte-d’Or, profession de journalier, fils de Alfred Jean et de feue Marie Victorine Levitre domiciliés à Fontenay-sous-Bois 6 Place d’armes, canton de Vincennes, département de la Seine.

N°._ de tirage dans le canton d_.


Signalement :

Cheveux et, sourcils bruns,
yeux gris, front ordinaire,
nez moyen, bouche moyenne,
menton rond, visage ovale,
Taille : 1 m _ cent. Taille rectifiée : 1 m _ cent.
Marques particulières : _
Degré d’instruction : générale : 3 / militaire :_.


Décision du conseil de révision et motifs :

Classé dans la 1e partie de la liste en 1907. Absent. Fils d’Etranger Belge..

Compris dans la _e partie de la liste du recrutement cantonal (_e portion)..


Corps d’affectation / Numéros au contrôle spécial – matricule ou au répertoire

Dans l’armée active : 4e régiment d’infanterie
Disponibilité et réserve de l’armée active : Régiment d’Infanterie de Melun – 012574
– 407e Régiment d’Infanterie (60e) – 01470
– 239e Régiment d’Infanterie (39e) – 07291

Armée territoriale et sa réserve : _.


Détail des services et mutations diverses. (Campagnes, blessures, actions d’éclat, décorations, etc.)

Inscrit sous le n°117 de la liste de Vincennes.
Condamné par défaut le 22 mars 1907 par le Tribunal Correctionnel de Langres à seize francs d’amende pour infraction à la police des chemins de fer.
Incorporé au 4e Régiment d’Infanterie à compter du 9 octobre 1907. Arrivé au corps le 10 octobre 1907. Immatriculé sous le n°9822. Soldat de 2e classe. Désigné comme soutien de famille le 5 mars 1908. Passé au 27e régiment d’Infanterie le 11 janvier 1908 pour convenances personnelles. Décision de Mr. le Général de brigade commandant la 17e brigade d’Infanterie en date du 7 janvier 1908. Arrivé au corps le 12 janvier 1908. Envoyé dans la disponibilité le 25 septembre 1909. A reçu un certificat de bonne conduite.
.


Passé dans la réserve de l’armée active le 1e octobre 1909.

Dans la disponibilité ou dans la réserve de l’armée active.

Rappelé à l’activité le 7 août 1914 4 août 1914 par décret du 1e août 1914 pour répondre à l’ordre de mobilisation Générale. A rejoint son corps le 4 août 1914. – 379
Détaché le 18 octobre 1914 maison Schneider au Creusot Circulaire ministérielle n°61609 2/3 du 11 octobre 1914. Rentré au dépôt le 19 mai 1916. – 306
Passé au 407e régiment d’infanterie (60e) le 10 août 1916.
Manquant aux appels du 14 juin 1917 déclaré Déserteur le 29 juin 1917. Arrêté par la prévôté le 20 juillet 1917. – 326.
.

A accompli une 1re période d’exercice dans le31e Régiment d’Infanterie du 28 août au 20 septembre 1911.
A accompli une 2e période d’exercices dans l_ du au _.
Passé dans l’armée territoriale le _.


Dans l’armée territoriale et dans sa réserve.

Condamné le 18 octobre 1917 par le Conseil de Guerre de la 130e Division Infanterie à quatre ans de prison avec sursis pour désertion à l’intérieur en temps de guerre (circonstances atténuantes admises).
Passé au 239e Régiment d’Infanterie (39e) le 18 octobre 1917.
Proposé pour la réforme n°1 avec gratification de 6e catégorie par la commission spéciale de réforme de Limoges du 24 mai pour “tuberculose pulmonaire” à la période de remplissement.
Etat général assez bon.
Admis à la réforme n°1 avec gratification taux 300 francs par décision ministérielle du 23 novembre 1918 notifiée le 16 décembre 1918 au Contrôle Central 212233).
Campagnes : Contre l’Allemagne du 4 août 1914 au 18 octobre 1914. Du 19 mai 1916 au 13 juin 1917 et du 20 juillet 18 octobre 1917 au 16
[Illisible : novembre ou décembre] 1918.
Déjà réformé définitivement n°1. Proposé pour une pension temporaire de 40% par la Commision de réforme de Dijon du 20 juillet 1920 pour “Bronchite chronique”.
Déjà réformé définitivement n°1 et proposé pour une pension temporaire de 100% par la Commission de réforme de Dijon du 15 février 1921 pour “Bacillose pulmonaire bilatérale”.
Décédé le 5 avril 1921 à Arnay-le-Duc (Côte-d’Or) (avis du 15 juin 1921).
.
[Au verso]

Blessé le 25 août 1914 à [Illisible : Fréauville?] (Meuse). Commotion par éclatement d’obus (perte de l’oeil droit). Blessé le 1er septembre 1916 à Rollot (Somme) éclat d’obus au cou, et au côté gauche.
Nom : Vlaminck. Prénoms : Alfred
Classe : 1906. Numéro matricule : 4332

A accompli une période d’exercces dans le du _ au _
Passé dans la réserve de l’armée territoriale le _.
Libéré du service militaire le _


Localités successives habitées
par suite de changements de domicile ou de résidence

Dates / Communes / Subdivisions de région / D : Domicile, R : Résidence

– Etat 2B / Arnay-le-Duc / Côte-d’Or / R
– [Abréviation illisible] 4 avril 1910 / Beaune (Côte-d’Or) 37 faubourg Saint-Nicolas / R
– [Abréviation illisible] 7 septembre 1910 / Dijon 94 rue Berbisey / R
– [Abréviation illisible] 30 mai 1913 / Dijon 72 rue d’Auxonne / R
– [Abréviation illisible] 27 août 1913 / Chalon-sur-Saône 5 place Saint-Jean / R
– 15 mars 1914 / Crugey canton de Bligny-sur-Ouche (Côte-d’Or) / R


Époque à laquelle l’homme doit passer dans :

La disponibilité de l’armée active :_
La réserve de l’armée active :
L’armée territoriale :
La réserve de l’armée territoriale :
Date de la libération du service militaire :.

[Lien vers le document original] Un papillon est numérisé avec la fiche d’Alfred Vlaminck mais il appartient à la fiche du matricule suivant, René Lammaing.

Décès

N°20

Décès de
Alfred Fernand Vlaminck
marié.
Du 5 avril 1921

Le cinq avril mil-neuf-cent-vingt-un, dix heures, est décédé en son domicile, rue des Grenouilles, Alfred Fernand Vlaminck, ouvrier en limes, né à Fontenay-sous-Bois (Seine) le trois mars mil-huit-cent quatre-vingt-cinq*, fils de Alfred Jean Vlaminck et de Marie-Victorine Levitre, tous deux décédés, époux de Juliette Berton. –
Dressé le cinq avril mil-neuf-cent-vingt-un, dix-sept heures, sur la déclaration de Ernest Lucotte, trente-huit-ans, et Alexis Laurent, trente-six ans, tous deux ouvriers en limes, domiciliés à Arnay-le-Duc, voisins du défunt, qui, lecture faite, ont signé avec nous Georges, officier d’académie, maire d’Arnay-le-Duc.
[Signatures] Laurent A. / Lucotte Ernest / Georges

[Lien vers le document original]

* Il s’agit d’une erreur. Alfred Vlaminck est né le 3 mai et non le 3 mars.

Données additionnelles

Fils d’un cordonnier belge établi en région parisienne et d’une arnétoise, Alfred Fernand Vlaminck épouse en première noce Jeanne Barbier, fille d’un couple de manouvriers, à Ladoix-Serrigny (Côte-d’Or) le 11 mars 1907(1). Alfred, qui est alors ouvrier forgeron, part faire son service militaire quelques mois après. Ils ont au moins une fille, Lucienne, née à Beaune (Côte-d’Or) en 1909(2). Un jugement rendu en mai 1917 indique que le couple divorce. Ce jugement, publié notamment dans le Journal de Beaune, nous apprend qu’Alfred Vlaminck est pionnier à la 1ère compagnie, 1er bataillon, du 407e régiment d’infanterie(3).

La désertion prend plusieurs formes et la réaction des autorités militaires évolue au cours de la guerre. Lors des premiers mois du conflit, un soldat déserteur, ou soupçonné de vouloir déserter, est souvent fusillé sur le champ pour montrer l’exemple. Un déserteur peut être un soldat qui ne revient pas de permission ou qui revient au corps en retard, il peut également passer à l’ennemi ou abandonner son poste. Certaines réactions de soldats sont parfois prises comme une tentative de désertion, tel ce militaire qui sous un bombardement essaie de sa cacher en seconde ligne(4). Sa fiche matricule indique qu’Alfred Vlaminck est accusé de désertion en juin 1917 puis jugé et condamné par un conseil de guerre. Les procédures de jugement des militaires sont conservés au Service Historique de la Défense dans la série GR J. La sous-série GR 11 J concerne les conseils de guerre aux armées – d’autres sous-séries contiennent les dossiers du conseil de guerre de Paris, de ceux des régions militaires et d’outre-mer(5).

Extrait du dossier de Vlaminck au conseil de guerre.
Cliquer pour agrandir.

Le cinq juillet 1917, les gendarmes Fernand Paris et Eugène Rey de la brigade de Fontenay-sous-Bois, en actuel Val-de-Marne, rédigent un procès-verbal constatant l’arrestation du soldat Alfred Vlaminck de la 10e compagnie du 407e régiment d’infanterie. Vlaminck est accusé de n’être pas revenu au corps le 25 juin 1917 après avoir obtenu une permission le 5 juin. Le onze juillet 1917, les gendarmes de Bligny-sur-Ouche, les brigadiers Nicolas et Pelletier, interrogent les habitants de Crugey sur les activités du déserteur. MM. Raveaux et Petit reconnaissent l’avoir vu et qu’il est reparti le 2 juillet. Ils n’ont rien entendu sur une volonté de déserter. Les gendarmes interrogent aussi Adèle Moniot qui déclare être la concubine de Vlaminck depuis six ans. Elle déclare qu’il est venu chez elle le 12 juin pendant sa permission de vingt jours. Elle leur explique qu’il est parti le 2 juillet pour retourner au corps. Arrêté par les gendarmes, Alfred Vlaminck est incarcéré et doit répondre de ses actions devant le tribunal du conseil de guerre de la 130e division d’infanterie. Il lui est reproché de déserter à l’intérieur en temps de guerre à l’issue d’une permission de vingt jours et ne pas être rentré au corps dans les cinq jours, délais de route non compris, suivant la fin de cette permission. Le 3 septembre 1917, le soldat Vlaminck est extrait de sa prison de Noisy-le-Sec pour être conduit à l’hôpital mixte d’Orléans où doit se tenir le conseil de guerre le 18 octobre 1917. Quelques pièces sont examinées, notamment son casier judiciaire qui compte deux légères infractions : une amende de 16 francs en 1907 pour infraction « aux chemins de fer » et une autre en 1910 pour « entretien concubine au domicile conjugal ». Rien d’exceptionnel ou de grave. En revanche, son dossier militaire ne joue pas en sa faveur. Ici encore, rien d’exceptionnel mais il cumule les punitions pendant son service militaire : quitte la garnison sans autorisation, ne se présente pas à l’inspection, se voit répéter un ordre, dépasse de 21 heures une permission, n’a pas exécuté un ordre, etc. Au total, depuis le début de son service militaire, il comptabilise plus d’une dizaine de punitions dont une en temps de guerre, en 1916, pour une absence non autorisée de 19 heures après la fin d’une permission ! Ses supérieurs sont sévères. Le capitaine Droz du 1er bataillon écrit que Vlaminck est un « soldat passable – ne mérite aucune indulgence ». Le sous-lieutenant Maurice est le commandant de sa compagnie, c’est lui qui constatant l’absence de Vlaminck demande à ce qu’il soit traduit devant un conseil de guerre. Maurice juge que Vlaminck est « un soldat médiocre qui ne faisait que juste le nécessaire pour s’éviter les punitions ». Heureusement, deux témoins, ses camarades Delaine et Mossand disent qu’ils n’ont jamais entendu Vlaminck parler de désertion. Ce sont des déclarations en sa faveur car elles préviennent l’ajout de l’accusation d’une désertion préméditée. Alors le conseil de guerre demande à Vlaminck de s’expliquer et consulte ses déclarations faites à la gendarmerie. A la question « pour quels motifs avez-vous déserté ? », il répond :

En raison du mauvais état de ma santé et parce que j’ai l’œil droit perdu à la suite d’une blessure de guerre et que l’on m’a refusé des visites de spécialistes bien que j’aie demandé à plusieurs reprises à être visité ; de plus je crache le sang de temps en temps. D’autre part j’ai des ennuis de famille, ma femme est alitée depuis deux ans à cause d’un cancer à l’estomac j’ai deux enfants à la maison et je n’ai obtenu aucun secours de la commune.
J’avais dernièrement demandé l’assistance individuelle médicale ; en réponse on m’a envoyé deux ans d’impôts à payer. C’est pour tous ces motifs que j’ai tant tardé à rentrer au corps.

Il est vrai que pendant sa permission Vlaminck travaille chez des cultivateurs de Crugey pour donner des sous à sa famille. Il est tout aussi vrai que son état de santé est mauvais. Le 25 août 1914, au 231e régiment d’infanterie, il est sérieusement blessé par éclatement d’obus et souffre d’une commotion et de la perte de son œil droit. Il est évacué mais six jours plus tard, il est à nouveau blessé par éclat d’obus au cou et au côté gauche, peut-être lors d’un bombardement du service de santé où il se trouve. Le 20 octobre, il est envoyé à l’intérieur pour être détaché aux usines Scheider du Creusot en Saône-et-Loire. En juin 1916, Vlaminck est envoyé au dépôt du 407e R.I. puis il part vraisemblablement pour le front mais est évacué malade le 30 septembre 1916 et une nouvelle fois le 3 février 1917. En prenant en compte l’ensemble de ces éléments du parcours de Vlaminck, le conseil lui demande s’il regrette sa faute, ce à quoi il répond :

Oui je le regrette si l’on avait essayé de me soulager un peu aussi bien au point de vue famille qu’au point de vue militaire j’en serais pas ou j’en suis. Malgré ma vue très faible, j’ai la responsabilité des camarades et cela m’ennuie beaucoup.

Le jugement d’Alfred Vlaminck laisse paraître la misère dans laquelle vivent de nombreux soldats. Comme il admet lui-même, il y a cette misère militaire à cause des problèmes de santé, à laquelle s’ajoutent tous les problèmes personnels des hommes. Quelques temps avant sa désertion, il divorce officiellement de son épouse, Jeanne Barbier, avec qui il a deux enfants et qui souffre d’un cancer. Le conseil de guerre n’est visiblement pas insensible à la situation du déserteur qui, rappelons-le, risque le peloton d’exécution. Il est condamné à quatre de prison avec sursis, grâce aux circonstances atténuantes acceptées par le conseil. La peine de prison est avec sursis car l’armée a besoin de soldats et Vlaminck ne montre pas de signes de refus de se battre. Il est pourtant bien mal en point. Dès la fin du conseil de guerre, il est renvoyé au front avec le 239e R.I. Il tombe alors malade, ou est gazé, ce n’est pas précisé, et est réformé le 24 mai 1918 pour tuberculose. En novembre, l’armée lui concède une gratification de 300 francs car elle conçoit que sa maladie est imputable au service. Sa santé ne cesse alors de décliner. Le 29 novembre 1918, il épouse en seconde noce Juliette Berthon, domestique domiciliée à Mimeure (Côte-d’Or)(6). En 1920, il a une incapacité de travail à hauteur de 40 % et souffre de « bronchite chronique », puis de « bacillose pulmonaire bilatérale » en février 1921. Le 5 avril suivant, Ernest Lucotte et Alexis Laurent viennent notifier le maire d’Arnay-le-Duc du décès d’Alfred Vlaminck en son domicile sis rue des Grenouilles. Il n’est pas mort pour la France.

Carte

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Sources

  • A.D. du Val-de-Marne, état civil numérisé, naissances Fontenay-sous-Bois 1885 – 1886 (1 MI 2322), Vlaminck Alfred Fernand, n°20, 1885, vue 12/106.
  • A.D. de Paris, recrutement militaire de la Seine (1887-1921), classe 1906, (D4R1 1383), lien vers la fiche matricule.
  • A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Arnay-le-Duc 1921 – 1926(FRADO21EC 26/042), Vlaminck Alfred Fernand (décès), n°20, 1921, vue 36/304.
  • (1) A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Ladoix-Serrigny 1905 – 1914(FRADO21EC 606/018), Vlaminck Alfred Fernand – Barbier Jeanne, n°11, 1907, vues 90-1/315.
  • (2) A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Beaune 1909(FRADO21EC 57/139), Vlaminck Lucienne, n°64, 1909, vue 20/256.
  • (3) (4 décembre 1917), « Extrait d’un jugement de divorce » in Journal de Beaune, p. 2 [En ligne] Disponible sur Retronews.
  • (4) Le Naour, Jean-Yves (2011), Les soldats de la honte, Paris, Perrin (version numérique non paginée).
  • (5) S. H. D., archives des conseils de guerre, conseils de guerre aux armées 1914-1930, dossier de Vlaminck Alfred Fernand (GR 11 J 2460). Nos remerciements à Mme. Colette Douroux pour l’envoi de ce dossier.
  • (6) A.D. de la Côte-d’Or, état civil numérisé, Arnay-le-Duc 1916-1920 (FRADO21EC 26/041), Vlaminck Alfred Fernand – Berthon Juliette, n°104, 1916, vues 181-82/329.